Paris sous la pluie un 1er mai…

Paris sous la pluie un premier mai, l’occasion de photographier de bons Français qui se trompent et de tester le Fuji XT1 pour Facing Paris.

Steven Spielberg, just one picture

Un seul cliché, pour la rencontre la plus furtive de mon existence, mais dans ce regard, dans ce sourire, je suis persuadé d’avoir capté le génie de ce gentil monstre sacré. L’impression forte de réussir à ce moment précis un cliché magique ne m’a jamais quittée.

FACING JAPAN, une semaine à Tokyo

Marché aux poissons de Tsukij Outer marketi, Tokyo Sky Tree, Musée Ghibli, Asakusa, Haneda Airport, Musée Shitamachi, Shinjuku, Shibuya, Meiji Jingu Temple, Sensoji Temple, Ginza, Imperial Palace/Nijubashi, Roppongi Hills, Akihabara Electric City, Odaiba

Officier Shanahan, l’Amérique au Coeur

L’officier de police Shanahan avec ses petites moustaches en croc possède la panoplie complète du motard de la police urbaine de Washington. Il est descendu de sa Harley et délimite une zone no access pour sécuriser le passage du convoi qu’il escorte…

Margot de Bruxelles « Tu devrais photographier Drücker, tu sais … »

Heureusement des bibelots sagement rangés décorent les étagères du buffet qui sinon pleurerait d’ennui. La tortue en faïence blanche qui trône tout en haut, entre deux vénérables cafetières, marche au petit pas du temps qui passe sans se presser et qui emporte pourtant tout sur son passage, tout d’une vie, petit à petit. Tout d’une vie qu’on aimerait retenir,

Cliché ethnique, distance minimale

Qui ? : Caïd d’un gang punk Où ? : Venice Beach, L.A. Quand ? : 2009 Pourquoi ? : Simple curiosité Comment ? : Même pas peur Tout dépendra de ce que je ressentirai au final comme la bonne distance, physique et affective. Je sais qu’elle est très variable. Trop loin, pas de contact, […]

Pierre Boulez, portrait muet

Je suis le Maître, toujours impassible, au sous-sol de l’IRCAM, dans l’étrange chambre sourde où je lui ai proposé de le photographier. Nous passons sur une étroite passerelle métallique et entrons dans une boîte entièrement tapissée de pics de mousse, hérissant plancher, murs et plafond. Soudain… j’expérimente le Silence ! Les dièdres de laine de verre absorbent le champ sonore. Ce silence est tel que je ressens presque un vertige ; je suis comme privé d’une partie de mon équilibre, de mon identité. Mon corps se révolte contre cette aberration.

Olivier Marchal, flic et voyou

L’impasse derrière le studio, avec ses pavés mouillés, luisants, et les portes métalliques abaissées des garages alignés, me semblait idéale pour un portrait de genre, un portrait du genre « flic et voyou ». Il y avait là du jus urbain, du décor réaliste, de l’obscur et des murs lépreux.